On parle de plus en plus d'achat local et ça tombe bien puisque la mariculture (élevage ou culture en eau salée, qui inclue les poissons, mollusques, crustacés et plantes marines) est une industrie durable en plein essor sur la Côte-Nord, en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine. Hier, j'ai eu la chance de rencontrer Sophie Fortier, biologiste et directrice du Regroupement des mariculteurs du Québec, qui m'a parlé des fruits de mer québécois présentement disponibles et comment les mettre en valeur pour nos partys d'automne.
La saison des huîtres bat son plein et apparemment celle des pétoncles aussi! Je connaissais déjà très bien l'huître provenant des Îles-de-la-Madeleine, la Trésor du Large, puisque j'y vais en vacances quasiment chaque année depuis plus de 20 ans. J'ai donc été heureuse d'apprendre que des boîtes de 18 huîtres (essayez de dire ça 3 fois de suite sans vous enfarger) des Îles sont maintenant disponibles en épicerie et dans les poissonneries. Il ne suffit que de le demander!
L'huître des Îles est élevée au large, soit dans l'eau froide, ce qui lui donne une chair généreuse et un goût plus salé que ses voisines de l'Île du Prince Édouard par exemple. On dit que c'est un aliment à la fois peu calorique mais nourrissant, avec un bon apport en vitamines et minéraux.
La saison des huîtres bat son plein et apparemment celle des pétoncles aussi! Je connaissais déjà très bien l'huître provenant des Îles-de-la-Madeleine, la Trésor du Large, puisque j'y vais en vacances quasiment chaque année depuis plus de 20 ans. J'ai donc été heureuse d'apprendre que des boîtes de 18 huîtres (essayez de dire ça 3 fois de suite sans vous enfarger) des Îles sont maintenant disponibles en épicerie et dans les poissonneries. Il ne suffit que de le demander!
L'huître des Îles est élevée au large, soit dans l'eau froide, ce qui lui donne une chair généreuse et un goût plus salé que ses voisines de l'Île du Prince Édouard par exemple. On dit que c'est un aliment à la fois peu calorique mais nourrissant, avec un bon apport en vitamines et minéraux.
Personnellement, je la préfère telle quelle, sans citron, sans mignonette, sans rien. Ça goûte la mer et c'est délicieux!
Pour ceux qui n'aiment pas les huîtres et qui veulent les apprivoiser, il peut être une bonne idée de les gratiner. Avec la Trésor du Large par exemple, je vous conseille d'opter pour la Tomme des Demoiselles, un fromage qui provient de la même région. C'est un vrai délice!
Allez lire mon billet sur le blogue des Fromages d'ici, qui présente d'autres idées d'huîtres gratinées.
Allez lire mon billet sur le blogue des Fromages d'ici, qui présente d'autres idées d'huîtres gratinées.
J'en étais cependant à ma première expérience avec les pétoncles princesse en coquille, cultivés dans la Baie de Gaspé. Force est de constater que ce n'est pas très sorcier, et que c'est un mollusque qui, lorsque dégusté très frais, présente un goût délicat. Points bonus puisque c'est un mollusque faible en gras saturé, qui contient aussi des acides gras oméga-3, du phosphore, du sélénium, de la vitamine B12 et du magnésium.
Pour ouvrir les pétoncles, il suffit de mettre le côté bombé du coquillage dans la paume de la main.
Prendre un couteau et faire glisser la lame le plus près de la coquille supérieure pour détacher le muscle. Lever doucement le coquillage et détacher les deux coquilles. Ici on a le choix de conserver le pétoncle entier ou de retirer le manteau qui entoure la noix. La partie noire est la glande digestive, qu'il est conseillé de retirer pour ne pas masquer le goût raffiné du pétoncle.
J'ai décidé de marier la Gaspésie aux Îles en ajoutant un peu de Tomme des Demoiselles râpée (eh oui, je suis folle de ce fromage) et quelques gouttes de vin blanc dans les coquilles avant de les faire griller au four. Avec un tour de poivre et des brins de ciboulette, c'est une entrée hyper simple qui fait son effet.
Pour d'autres façons d'apprêter les pétoncles, je vous invite à consulter la section Trucs et recettes du site web de Pétoncle cultivé du Québec.
Bon appétit!
Prendre un couteau et faire glisser la lame le plus près de la coquille supérieure pour détacher le muscle. Lever doucement le coquillage et détacher les deux coquilles. Ici on a le choix de conserver le pétoncle entier ou de retirer le manteau qui entoure la noix. La partie noire est la glande digestive, qu'il est conseillé de retirer pour ne pas masquer le goût raffiné du pétoncle.
J'ai décidé de marier la Gaspésie aux Îles en ajoutant un peu de Tomme des Demoiselles râpée (eh oui, je suis folle de ce fromage) et quelques gouttes de vin blanc dans les coquilles avant de les faire griller au four. Avec un tour de poivre et des brins de ciboulette, c'est une entrée hyper simple qui fait son effet.
Pour d'autres façons d'apprêter les pétoncles, je vous invite à consulter la section Trucs et recettes du site web de Pétoncle cultivé du Québec.
Bon appétit!
Un merci tout spécial à Mme Morneau et au Regroupement des mariculteurs du Québec de m'avoir offert les pétoncles et les huîtres.