Par Alexandra Mignault
Dans le film Brûlé, le chef Adam Jones (Bradley Cooper) a eu du succès à Paris avant de tout perdre, notamment parce qu’il consommait trop et buvait trop. Après avoir disparu pendant trois ans, le revoilà de retour à Londres, déterminé à obtenir une troisième étoile dans le Guide Michelin. Il s’entoure donc d’une équipe qu’il dirige avec fureur. Ici, on retrouve bien plus que l’ambiance survoltée des cuisines; Jones mène sa cuisine sans beaucoup d’égards aux gens avec qui il travaille, complètement obsédé par la recherche de la perfection et de cette fameuse troisième étoile à conquérir. Son plus gros obstacle, c’est lui-même, ses démons, son passé, son caractère irascible. Heureusement, la présence d’Hélène (Sienna Miller) en cuisine adoucira peut-être son exigence extrême à la limite du supportable (on se sent presque oppressé à certains moments). Elle tentera d’ailleurs de lui apprendre que la cuisine, c’est aussi une histoire de partage, ce qu’il semble avoir oublié.
Dans le film Brûlé, le chef Adam Jones (Bradley Cooper) a eu du succès à Paris avant de tout perdre, notamment parce qu’il consommait trop et buvait trop. Après avoir disparu pendant trois ans, le revoilà de retour à Londres, déterminé à obtenir une troisième étoile dans le Guide Michelin. Il s’entoure donc d’une équipe qu’il dirige avec fureur. Ici, on retrouve bien plus que l’ambiance survoltée des cuisines; Jones mène sa cuisine sans beaucoup d’égards aux gens avec qui il travaille, complètement obsédé par la recherche de la perfection et de cette fameuse troisième étoile à conquérir. Son plus gros obstacle, c’est lui-même, ses démons, son passé, son caractère irascible. Heureusement, la présence d’Hélène (Sienna Miller) en cuisine adoucira peut-être son exigence extrême à la limite du supportable (on se sent presque oppressé à certains moments). Elle tentera d’ailleurs de lui apprendre que la cuisine, c’est aussi une histoire de partage, ce qu’il semble avoir oublié.
L’intensité du personnage, parfois invivable, de Jones ne gâche en rien notre plaisir. Parce que oui, on l’avoue, on apprécie les films de bouffe, les plats alléchants, le rythme effréné de la restauration et on ne peut que s’attacher à ce personnage bouillant. Même si on n’évite pas les clichés et même si on ne réinvente pas le genre, on passe un bon moment.
Pour vous donner le goût encore plus, visionnez la bande-annonce du film Brûlé (Burnt).
Bon cinéma!
Bon cinéma!