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Les vraies leçons de cuisine du Foodcamp 2016

3/10/2016

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Des événements comme le Foodcamp de Québec, c’est magique. C’est un beau moment pour tous les curieux et les gourmands de ce monde qui veulent en apprendre sur la cuisine, déguster de bonnes choses tout en riant un bon coup. D’ailleurs, la mission du Foodcamp est de faire en sorte que les participants puissent manger, apprendre et partager. Dans mon cas, c’était mission accomplie une fois de plus. Dans un monde où toutes les recettes de cuisine sont disponibles en un clic, je pense que la richesse d’un événement comme le Foodcamp réside dans la transmission de la passion de la cuisine comme véhicule de notre identité personnelle et collective. L’équipe derrière le Foodcamp a réussi une fois de plus à réunir sur scène des chefs animés par la même passion de  partager le bonheur de manger. 

Voici en bref les six leçons que j’ai tirées de ma 3e expérience au Foodcamp de Québec. 

1.  Les souvenirs sont une source inépuisable d’inspiration.
C’est en plongeant dans nos mémoires d’enfance, de vacances ou de moments heureux qu’on peut créer des émotions au moment de la dégustation et exprimer qui on est, d’où on vient. Cette idée a été partagée par Raphaël Vézina (Laurie Raphaël) qui nous parlait de «cuisine de grand-maman» avec ses pommettes cuites au four de manière rustique, ou alors Felipe Saint-Laurent (Ils en fument du bon) qui nous a rappelé que les souvenirs olfactifs étaient les plus forts. Mathieu Brisson (Clocher Penché) qui brûle légèrement des morceaux de pain au chalumeau pour faire des petits «météorites de pain» qui rappellent le goût singulier de toast brûlée en camping ou alors Stéphane Modat (Restaurant Champlain) qui assaisonne son chocolat chaud d’automne de coeurs à la cannelle sont de bons exemples. J’ai bien aimé aussi que Rocco Cortina (Il Matto) parle de l’importance de cuisiner en famille pour créer des souvenirs. Il donnait l’exemple des gnocchis maison faits avec les tout-petits, un vrai jeu d’enfant aussi amusant que faire de la pâte à modeler. ​
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2. En cuisine, tout est une question d'équilibre.
On en a beaucoup entendu parler durant la fin de semaine du Foodcamp. Ce n’est rien de nouveau mais c’est toujours bien de rappeler que le triangle amoureux gras-acidité-sucre est l’idéal à atteindre avec toute recette. L’animateur du Foodcamp, Jonathan Garnier (Guilde Culinaire) a trouvé comme exemple la présence de la betterave marinée sur la table des cabanes à sucre : elle est essentielle pour balancer le sucre et le gras qu’on y ingère. L’acidité sert en quelque sorte à nettoyer les papilles, à faire un «reset» pour mieux continuer à se bourrer la fraise!  

3. Acheter et cuisiner les produits d’ici, c’est important.
C’est aussi bon pour la planète que pour notre économie locale. On pense entre autres à la cuisine boréale à la Arnaud marchand (Chez Boulay), qui n’utilise pas de citron ni de poivre dans son resto, mais qui opte plutôt pour la canneberge et le Poivre des dunes pour rehausser ses plats. Il nous a d’ailleurs prouvé dans sa démonstration qu’il était possible de sublimer un aliment qu’on récolte pendant une courte période au Québec mais qui se trouve en version déshydratée toute l’année : le champignon. La clé pour sublimer les champignons séchés réside dans la torréfaction au four et il nous l’a démontré en utilisant des bolets, des pleurotes et un mélange forestier pour concocter une tapenade à l'huile de Caméline, un consommé et un espuma. À Montréal, au restaurant Le Mousso, le chef Antonin Mousseau-Rivard prône beaucoup l’achat de matières premières en provenance de l’est du pays, et il a parlé des enjeux de l'achat local. Entre autres, il a fait la lumière sur le sort des  légumes frais du Québec qui sont donnés aux cochons, puisque les grandes chaînes de supermarchés achètent les légumes de pays étrangers. Et c'est valable aussi pour les restaurateurs, qui ont la responsabilité de mettre en valeur le travail de notre industrie agroalimentaire. Vincent Chatigny (Chez Biceps BBQ) l'a dit avec tellement de sincérité: «Encourager ses amis et acheter local, c’est ça la vraie cuisine et le plaisir d'être en affaires »!
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4.  La vraie créativité, c’est de cuisiner sans ne rien jeter.  
Dans un monde où tout va trop vite et où les chefs ont mille et une techniques avant-gardistes pour nous épater, j’ai été surprise de constater qu’une des tendances était maintenant le «zéro gaspillage». Mathieu Brisson a été le premier à casser la glace le samedi matin et il nous a tous ébloui avec son ingéniosité, son audace et sa candeur. On l’a vu réutiliser les restes qu’on jette normalement comme les troncs de maïs et les pelures d’oignons pour préparer un bouillon incroyablement savoureux, qui me rappelait la profondeur et la complexité des bouillons japonais. 

Dimanche après-midi, c’est Daniel Vézina (Laurie Raphaël), ce chef qui ne nécessite plus de présentation, qui nous a démontré qu’il était possible (avec un peu d’effort et de temps) de ne RIEN mettre à la poubelle d’un céleri-rave. Rien ne se perd, tout est à créer! Il a fait une huile parfumée et un pesto avec les feuilles, puis un beurre avec la pulpe des tiges, un sel avec les tiges séchées et réduites en poudre, une purée de céleri rave, et il a utilisé les épluchures pour faire un consommé. Il a fait le même exercice avec le maïs, les pommettes et la citrouille, qui sont des aliments qui poussent en grandes quantités au Québec mais qui selon lui ne sont pas utilisés à leur plein potentiel. (M. Vézina, je vous ai d'ailleurs trouvé un premier pommetier à attaquer, sur la photo plus haut, il s'agit de celui de mon voisin qui regorge de pommettes mûres)! La réflexion se poursuit avec son livre La cuisine réfléchie, où il aborde diverses occasions où les «surplus» peuvent devenir la base de succulentes recettes.
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5.  On n’a pas pas besoin d'équipement sophistiqué pour cuisiner comme un chef. 
Bien sûr les chefs avaient accès sur scène à un Thermomix et parlaient parfois de techniques comme la cuisson à basse température au thermocirculateur ou avec des fours ultra sophistiqués. Mais on a aussi vu le chef Antonin Mousseau-Rivard fumer du poisson avec du foin biologique qu’il a acheté dans une animalerie, et Arnaud Marchand préparer un gâteau éponge raffiné au micro-ondes. Bien souvent, quand on voit aller les chefs, on réalise que c’est bien plus la qualité et la fraîcheur des ingrédients qui compte (et la quantité de beurre)!  ;-)

6.  Travailler avec les saisons est ce qui nous définit en tant que Québécois.
J’ai bien aimé la présentation de Raphaël Vézina, qui nous a partagé ses réflexions sur les tendances culinaires, sur les «nouvelles» techniques ou les façons d’appeler ce qu’on mange, des différents régimes, etc. Il a remis le tout en perspective et a fait ressortir l’influence du changement des saisons sur nos traditions et sur nos façons de cuisiner.  Par exemple,  l'été, riche en petits fruits, en légumes et en  produits de la pêche, est la saison qui amène chaque année des traditions de camping et de feu de camp, ce qui nous pousse à étendre le concept de cuisson sur le feu avec le BBQ.  Il a terminé sa présentation et j'en ressentais une grande fierté d'être née au Québec et d'avoir la chance de varier mon alimentation au gré des saisons, selon ce que la nature a de mieux à nous offrir. 

Si vous voulez repartir avec plein d'inspiration et de motivation à cuisiner, et ne rien manquer des futures éditions du Foodcamp, je vous invite à suivre la page Facebook du  Foodcamp Québec.  

Sur ce, je m'en vais de ce pas manger une salade verte pour me remettre de ce beau week-end !
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Merci aux organisateurs du Foodcamp et toute la brigade de bénévoles d'avoir tout donné pour nous offrir une fois de plus une expérience exceptionnelle.  Merci aussi aux partenaires et commanditaires qui ont si généreusement rempli un sac de surprises gourmandes pour les blogueurs. 
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6 livres à dévorer cet automne

27/9/2016

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Par Alexandra Mignault
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Les livres de cuisine continuent d’avoir la cote. Et c’est tant mieux, parce qu’on raffole des livres de cuisine. Comme l’arrivée de l’automne coïncide avec la rentrée littéraire, c’est une tonne de nouvelles idées de recettes qui déferlent en librairie. On vous suggère six ouvrages à découvrir. 

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Montréalissimo
Vivre et manger à l’italienne
 

de Lynne Faubert
​et Michele Forgione (L’Homme)

 
Un livre superbe qui met la  dolce vita  à l’honneur : ça ne peut que nous plaire! Ce passionnant ouvrage propose de découvrir l’héritage qu’ont légué les immigrants italiens à la gastronomie montréalaise. On y dévoile l’histoire des Italiens à Montréal, des recettes (sauce tomate, tiramisu, pâtes fraîches, etc.), des anecdotes, des traditions, des adresses incontournables comme la quincaillerie Dante et le marché Jean-Talon, des portraits d’artisans, de chefs, de pâtissiers et de boulangers. Stefano Faita en signe la préface, tandis que David De Stefano agrémente le tout avec ses magnifiques photographies. Un incontournable pour les gourmands!

En librairie le 3 octobre ​

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Le coup de grâce 
​de Samuel Joubert (L’Homme)


Ce titre vous dit peut-être quelque chose puisqu’il s’agit du nom d’un blogue populaire. L’auteur de ce blogue, un photographe, styliste culinaire et créateur de recettes passionné, présente son premier livre de recettes, comprenant 100 recettes, dont 75 inédites. Il y prône le plaisir de manger sans compromis, en témoigne cette phrase à la une de son site et de son livre : « Si j’étais vous, je détacherais ma ceinture tout de suite… » Un ouvrage accessible et inspirant qui donne le goût de cuisiner avec un brin de folie. 

En librairie le 3 octobre ​



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Gâteaux. 50 recettes simples et gourmandes pour se faire plaisir! 
de Barbara Gateau (L’Homme)


Barbara Gateau, l’auteure derrière le superbe Tutti Frutti,  nous entraîne cette fois dans le vice (mais on aime ça!) avec cet ouvrage aux recettes sucrées, des recettes parfaites pour se gâter. Les chocolatés, les épicés, les fruités, les plaisirs coupables : voilà comment se divisent les petites douceurs proposées ici. Fondant au chocolat et à l’avocat, moelleux au chocolat blanc, mi-cuit, étagé aux trois chocolats, forêt-noire aux framboises, mi-brownie, mi-cookie, roulé aux abricots : tous ces desserts sont décadents et tentants. Attention : vous n’arriverez pas à résister aux photos complètement alléchantes!

En librairie le 17 octobre

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Légumineuses   & Cie
d’Hubert Cormier (La Semaine)

Le nutritionniste qui nous avait offert un livre original sur le yogourt (Ma table festive. Yogourt) revient cette fois avec un ouvrage qui met à l’honneur les légumineuses, du déjeuner au dessert (oui, oui!). En plus d’être économiques et nutritives, elles sont beaucoup plus polyvalentes qu’on pourrait le croire. Du cassoulet au canard à la soupe à l’oignon avec haricots blancs, en passant par le tartare de bœuf et des frites de pois chiches : ce livre présente ces aliments qui semblent souvent peu attrayants, de façon originale et appétissante. Qui a dit que les légumineuses étaient ennuyeuses? 

En librairie

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De ma cour au château
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de Stéphane Modat (La Presse)
 
Le chef du Château Frontenac révèle ses trucs dans son premier livre de recettes. On ne découvre pas seulement des recettes de chef, mais bien aussi des recettes accessibles qu’il aime cuisiner pour sa famille et ses amis. Le gravlax et les pétoncles côtoient donc le grilled cheese et le poulet rôti. On aime!
En librairie le 24 octobre


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Simplicité culinaire 
de Martin Juneau (La Presse)


On a très hâte de découvrir le premier livre de recettes du réputé chef Martin Juneau dont on sait pour le moment peu de choses. Le concept semble original : pour chaque aliment, Martin Juneau proposera trois recettes de différents niveaux de difficulté. Cette façon de procéder devrait permettre d’apprendre et de s’améliorer en cuisine. 
En librairie le 8 novembre
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Smoothie épicé à la citrouille

23/9/2016

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 La citrouille fait un excellent substitut aux fruits tropicaux comme la mangue ou l’ananas. J’en profite toujours lorsque c’est la saison, pour en faire des provisions. J’achète des courges au Marché, je les coupe en cubes et je les congèle. Durant l’hiver, on prend les cubes de citrouille et on peut les mettre directement dans le mélangeur pour des smoothies ou les utiliser pour faire des soupes! Je vous présente ici un  smoothie sur un de mes napperons réversibles  Apéro.  Si vous craquez vous aussi pour ce beau motif bleu et aqua, sachez que  ce joli  napperon est signé par une entreprise de Québec que j'admire beaucoup, Huit Juin Maison!  
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Pour environ 3 portions
1 tasse de purée de citrouille

1 tasse de lait d'amandes ou de lait de coco
1 tasse d'eau + quelques glaçons
1 c  à thé de cannelle en poudre
1 c. à thé d'extrait de vanille
1/2 c. à thé de muscade râpée
1 banane 
1 c. à table de gingembre frais râpé
3 -4 dattes dénoyautées 

Optionnel :
2 c. à table de graines de chia entières
2 c. à table de graines de citrouille 
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1. Combiner tous les ingrédients dans un mélangeur. 
2. Décorer de graines de chia et de graines de citrouille.

Consommer immédiatement ou conserver au réfrigérateur dans un contenant hermétique jusqu'à 2 jours.  



​Ce billet de blogue est rendu possible grâce à la participation du  Marché du Vieux-Port de Québec.
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Rouleaux d'automne au concombre

22/9/2016

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Tout le monde connaît les rouleaux de printemps, mais moi j’ai décidé que l’automne méritait tout autant d’être célébrée dans un rouleau! Pour poursuivre ma semaine spéciale cucurbitacée, je vous présente un légume bien connu de tous : le concombre! J’ai préparé les miens avec du saumon fumé artisanal, mais vous pourriez aussi vous laisser tenter par les crevettes nordiques au comptoir des Délices de la mer du Marché du Vieux-Port. J’ai aussi tenté d’intégrer les algues séchées qui y sont aussi vendues, et le résultat était divin!
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Pour 6 rouleaux 

100 g de saumon fumé (Les délices de la mer)
1 concombre de type cornichon, coupé en juliennes
6 feuilles de riz (La route des Indes)
100 g de vermicelles de riz (La route des Indes)
12 feuilles de menthe fraîche
Algues wakamé du Québec réhydratées (Les délices de la mer), facultatif
Graines de sésame, facultatif

Sauce :
1/2 c. à table d'huile végétale
3 c. à table de beurre d'arachide naturel
1 c. à table de vert d'échalote
2 c. à table d'eau chaude
1 c. à table de sauce soya
1 c. à table de sirop d'érable
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1. Faire bouillir une casserole d’eau et y plonger les vermicelles. Cuire 2 minutes puis égoutter.
2. Passer sous l’eau chaude pendant 10 secondes une feuille de riz et la déposer sur un plan de travail propre.
3. Disposer une petite poignée de vermicelles au centre, un morceau de saumon fumé, quelques bâtonnets de concombre et des feuilles de menthe. Au goût, ajouter des algues et des graines de sésame. Répéter avec les 5 autres feuilles de riz. Réserver au frais jusqu’au moment de servir.
4. Dans un petit bol, mélanger les ingrédients pour la sauce et déguster!
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Macaroni à la courge musquée

21/9/2016

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C’est bien connu, pour faire manger plus de fruits et légumes à toute la famille, une technique vieille comme le monde est de les cacher! Comme dans cette recette de macaroni à la courge musquée, qui camoufle une courge entière dans sa sauce. La couleur jaune est à s’y méprendre et le goût est épatant! Le résultat est un mac'n'cheese moins gras et plus sain, si en plus on utilise des pâtes de blé entier ou des pâtes de quinoa. 
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Pour 6 portions

2 c. à soupe d’huile végétale (huile de pépins de raisin, huile de tournesol, huile d’olive)
1 oignon, hachée grossièrement
1 gousse d’ail, hachée grossièrement
2 tasses de courge musquée, coupée en dés
2 tasses de bouillon au choix
1 ½ tasse de lait au choix (lait de vache, lait d’amande ou lait de coco)
3-4 poignées d’épinards frais
4 tasses de macaronis non cuits
2 tasses de fromage mozzarella râpé
¾ tasse de chapelure japonaise Panko
Paprika fumé (facultatif)
Sel et poivre du moulin
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1. Dans un grand chaudron, chauffer l’huile et faire cuire l’oignon jusqu’à ce qu’il soit translucide, environ 2 minutes.
2. Ajouter la gousse d’ail et les morceaux de courge. Couvrir de bouillon et cuire jusqu’à ce que la courge soit fondante.
3. Pendant ce temps, cuire les pâtes en suivant les directives de l’emballage, en raccourcissant le temps de cuisson de 3-4 minutes. Les pâtes continueront de cuire lors de la cuisson au four.
4. Transférer la courge dans un mélangeur et réduire en purée. Si le mélange n’est pas assez lisse, prendre quelques cuillerées d’eau de cuisson des pâtes.
5. Dans le même chaudron ou dans un grand bol, combiner les pâtes cuites avec la purée de courge et les épinards. Transférer dans un grand plat allant au four ou plusieurs petits ramequins.
6. Couvrir du fromage râpé, saupoudrer de la chapelure panko et assaisonner avec quelques pincées de paprika fumé ou du poivre.
7. Cuire sous le grill jusqu’à ce que la chapelure commence à dorer, environ 10 minutes. Attention de ne pas laisser le four sans surveillance pour cette étape!
8. Servir chaud avec une bonne salade verte.

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Pain aux courgettes santé

20/9/2016

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Ce pain aux courgettes est rendu un favori chez nous! C’est une amie qui me l’a fait découvrir sur le site de Ricardo, et je l’ai tout de suite adoptée. Je l’ai cependant modifiée pour la rendre un peu plus santé, en diminuant la quantité de sucre (au goût, les dattes font le travail) et en remplaçant les oeufs par des graines de chia, pour plus de valeur nutritive. Parfois, j’intègre aussi de la farine de blé entier (environ ½ tasse sur la quantité totale de farine). Une recette qui séduit à tout coup, et qui se glisse si bien dans la boîte à lunch! 
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1 ¾ tasse de farine tout usage non blanchie
½ c. à thé de bicarbonate de soude
½ c. à thé de poudre à pâte
¼ c. à thé de sel
3/4  tasse de cassonade
½ tasse d’huile végétale (j’utilise l’huile de tournesol)
2 c. à table de graines de chia entières
¼ tasse d’eau chaude
2 tasses de courgettes (jaunes ou vertes) râpées
¾ tasse de dattes dénoyautées et coupées en dés
¾ tasse de pacanes grillées au four, hachées grossièrement
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1. Préchauffer le four à 350 °F. Tapisser un moule à pain de 9 x 5 po de papier parchemin. Beurrer les deux autres côtés.
2. Dans un petit bol, mélanger les graines de chia avec l’eau. Laisser reposer au moins 5 minutes.  
3. Dans une tasse à mesurer, mélanger la farine, le bicarbonate, la poudre à pâte et le sel. Réserver.
3. Dans un grand bol, mélanger la cassonade avec l’huile et les graines de chia à l’aide d’un fouet jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Incorporer les courgettes et les ingrédients secs. Ajouter les dattes et les noix.
4. Verser dans le moule. Cuire au centre du four environ 50 minutes ou jusqu’à ce qu’un couteau inséré au centre du pain en ressorte propre. Attendre 5 minutes, démouler et laisser refroidir complètement sur une grille.
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Frittata à la courge caramélisée

19/9/2016

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Quand les temps froids s’installent à l’automne et que les courges abondent au Marché du Vieux-Port, un de mes petits plaisirs est de préparer une grosse frittata pour le brunch du dimanche et de garder les surplus pour les lunchs du lendemain. C’est une solution réconfortante qui nous permet d’utiliser plusieurs restes du frigo, ni vu ni connu! La courge musquée est délicieuse ici avec la chair des saucisses, mais vous pourriez tout autant la remplacer par des blocs de tofu ou des cubes de jambon.
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500 g de courge musquée, coupée en petits dés d’environ 1 cm
1 oignon rouge coupé en rondelles
3 c. à table de sirop d’érable
3 saucisses Tourguez de So-Cho le Saucissier (mélange de Toulouse et Merguez)
1 poignée de bébé épinards
6 oeufs
1 tasse de lait
200 g de fromage mozzarella
Sel et poivre noir du moulin
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1. Préchauffer le four à 400°F. Dans un plat allant au four, déposer les cubes de courge et l’oignon avec le sirop d’érable. Assaisonner et cuire jusqu’à ce que la courge soit fondante.
2. Dans une poêle en fonte huilée ou un plat en pyrex, déposer les courges et l’oignon au fond. Disposer les feuilles d’épinards et la chair des saucisses (simplement faire une entaille à une extrémité et presser pour faire sortir la chair).
3. Dans un petit bol, battre les oeufs et le lait. Bien assaisonner et verser le mélange sur le reste des ingrédients.
4. Couvrir de fromage râpé et mettre au four à 350°F, jusqu’à ce que l’oeuf soit bien cuit.
5. Servir chaud ou froid avec une bonne salade verte.
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L'automne au marché du Vieux-Port de Québec

18/9/2016

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L'automne au marché est vraiment une belle période! C'est le temps des récoltes et tout est en abondance, les tomates de toutes sortes, l'ail du Québec, les fraises (eh oui, les fraises d'automne sont encore là) et bien évidemment les courges (ou pour être plus précis, les cucurbitacées)!  Les cucurbita-quoi?

La famille des cucurbitacées  inclut :
- Les concombres et les cornichons
- Les courges et les courgettes
- Les citrouilles et potirons 
- Les melons et les  cantaloups  
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Tout au long de la semaine, je vous partagerai des nouvelles recettes mettant en vedette les cucurbitacées de saison, mais en attendant, vous pouvez toujours revoir et cuisiner  ce qui se trouve dans mes archives de blogue!
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Cliquez sur les images pour les recettes  de :

-  salade méditerranéenne au melon d'eau ​
​- gnocchis à la citrouille

-   salade de courgettes (zoodles)
-  confiture à la courge musquée et aux agrumes
Cette semaine de contenu spécial est  réalisée en collaboration avec le Marché du Vieux-Port de Québec. 
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Potage de poireau, pomme et chou frisé 

13/9/2016

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L’été, mon mélangeur sert principalement pour faire des smoothies ou des sorbets, et l’automne, il ne sert presque uniquement à faire des potages! C’est tout simple à préparer et ça nous fait apprécier les légumes de saison. J’aime bien utiliser le lait de coco dans mes potages, c’est moins gras que de la crème et on ne sent pas du tout le goût de la noix de coco. C’est donc aussi une recette toute indiquée pour détourner les intolérances au lactose.
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Pour 6 portions

2 c. à table d’huile végétale
5 poireaux du Québec, coupés en rondelles
2 pommes de terre blanches, épluchées
1 litre de bouillon au choix (poulet, légumes, miso)
160 ml de lait de coco
2 pommes (avec la pelure)
3 grandes feuilles de chou vert frisé (kale) sans la tige
Sel et poivre noir du moulin
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1. Dans une grande casserole, faire chauffer l’huile et y cuire les poireaux avec un peu de sel en remuant, environ 2 minutes.
2. Ajouter le bouillon et les pommes de terre, et cuire à feu moyen jusqu’à ce que les pommes de terre soient cuites.
3. Transvider le tout dans un mélangeur à haute vitesse. Ajouter les pommes, le chou frisé et le lait et réduire en purée lisse. Bien assaisonner et servir chaud.
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Pommes d'automne au four 

12/9/2016

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Ce dessert de saison est un classique chez nous que ma mère fait chaque année lorsque les pommes du Québec sont à leur meilleur. C'est une recette qui peut facilement se doubler pour servir des grandes tablées lors des réceptions d'automne. Troquez la crème glacée pour du yogourt grec et vous pouvez en faire un délicieux déjeuner gourmand!
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Pour 4 portions

6 pommes (4 dont uniquement le cœur est retiré et 2 coupées en dés)
2 tranches de pain ranci, coupées en dés
1 tasse de jus d'orange
1/4 tasse de beurre à température ambiante et ¼ tasse de beurre fondu
1/2 tasse de pacanes hachées grossièrement
1/2 tasse de cassonade ou de sucre d'érable
Une pincée de cannelle (au goût)
Crème glacée ou yogourt glacé (facultatif) pour le service
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1.Préchauffer le four à 350 °F.
2.Dans quatre plats allant au four, déposer les tranches de pain et arroser du jus d'orange (mettre 1/4 tasse dans chaque plat).
3.Mélanger la cassonade avec le beurre fondu.
4.Au centre de chaque plat, mettre les pommes évidées, et y verser un peu du mélange de cassonade et ajouter par-dessus du beurre à température ambiante.
5.Répartir le reste du mélange de cassonade, les morceaux de pommes et les pacanes tout autour.
6.Enfourner pendant environ 30 minutes ou jusqu'à ce que la pomme semble cuite lorsqu'on insère un couteau au centre de la chair. S'assurer que le pain soit toujours humide pour que la pomme reste moelleuse.
7.Servir chaud tel quel ou avec une boule de crème glacée à la vanille.
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Huîtres aux saveurs du Québec 

2/9/2016

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La haute saison des huîtres est facile à mémoriser : il s’agit des mois dont le nom se termine en «bre», de septembre à décembre. Ce mollusque soit-disant aphrodisiaque est de plus en plus apprécié et c’est tant mieux! Traditionnellement, les huîtres se dégustent nature, avec un trait de jus de citron ou quelques gouttes de mignonnette (échalote française ciselée finement dans du vinaigre de vin rouge). J’ai décidé de tester de nouvelles façons de les manger, mais avec une touche locale, d’autant plus qu’il existe maintenant sur le marché 2 variétés d’huîtres cultivées au Québec : la Trésor du large provenant des Îles de la Madeleine, et la William B. de Carleton-sur-mer. Osez faire des découvertes! 
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Pour 6 huîtres
Rhubarbe & échalote verte
1 tasse de rhubarbe coupée en rondelles
1 c. à thé de la partie verte de l’échalote finement ciselée

Dans un petit chaudron, faire chauffer doucement la rhubarbe et la piler avec une fourchette pour en faire sortir le jus. Passer dans un tamis pour retirer la chair. Ajouter l’échalote verte et réserver au froid jusqu’au moment de servir. Déposer environ 1 c. à thé de mignonnette dans chaque huître.

Pour 6 huîtres
Pomme & vinaigre de cidre
1 c. à table de vinaigre de cidre de pomme du Québec
1 c. à table d’eau glacée
1 c. à table de mini cubes de pomme croustillante

Couper la pomme et déposer immédiatement les cubes dans le vinaigre de cidre pour éviter qu’elle ne brunisse. Ajouter l’eau, mélanger et réserver au froid jusqu’au moment de servir. Déposer environ 1 c. à thé de mignonnette dans chaque huître.

Pour 6 huîtres
Jus de canneberge & échalote française
2 c. à table de jus de canneberge pur sans sucre
1 c. à thé d’échalote française hachée très finement
Poudre de canneberge pour décorer

Mélanger le jus de canneberge avec l’échalote française dans un petit bol et réserver au froid jusqu’au moment de servir. Déposer environ 1 c. à thé de mignonnette dans chaque huître.

Pour voir la technique de base pour ouvrir des huîtres sans danger, je vous conseille de regarder cette vidéo de Ricardo. ​
​
Bonne dégustation!
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Pâtes aux palourdes et légumes grillés

30/8/2016

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Avec nos vacances annuelles aux Îles de la Madeleine, les réserves de fruits de mer sont rarement à sec chez nous! Hareng fumé et palourdes en conserve peuplent littéralement notre garde-manger. Pour rendre hommage aux mactres de Stimpson, ces  petits mollusques qui goûtent la mer, ma mère prépare souvent cette recette à tomber par terre (qui est devenue un classique dans la famille pour cette même raison). Histoire de l’avoir toujours à portée de main et pour mes proches qui me la demandent, j’ai cru bon de la partager ici. Bon appétit! 
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Pour 4 portions

2 c. à table d’huile d’olive
2 poivrons rouges coupés en lamelles
1 oignon (jaune ou rouge),  coupé en demi rondelles
1 c. à table de beurre salé
⅓ tasse de farine
½ tasse de vin blanc
120 ml de crème fraîche (j’utilise celle de la marque Riviera)
1 pot de 154 g de palourdes (Mactres de Stimpson), avec le jus (si vous êtes gourmands, utilisez 2 pots)
400 g de spaghettis non cuits
Sel de mer
Poivre noir du moulin

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1. Préchauffer le four à 400° F. Dans un plat de verre, déposer les légumes et arroser de l’huile d’olive. Assaisonner et cuire environ 15 minutes, ou jusqu’à ce que les légumes commencent à griller.
2. Transférer les légumes dans une poêle avec le beurre. Déglacer avec le vin blanc.
3. Faire bouillir une grande casserole d'eau salée pour les pâtes. L’eau doit goûter l’eau de mer.
4. Lorsque le vin blanc est évaporé, saupoudrer les légumes de la farine pour bien les enrober. Ajouter le jus du pot de palourdes et la crème fraîche, et laisser cuire à feu doux. Vous pouvez ajouter un peu d’eau de cuisson au besoin.
5. Lorsque les pâtes sont cuites, transférer les spaghettis dans la poêle de sauce. Ajouter les mactres au dernier moment pour ne pas les cuire.
6. Servir immédiatement avec un peu de poivre seulement.
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Inbe : un incubateur de produits alimentaires

22/8/2016

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Avec un père qui travaille dans le domaine du branding, particulièrement dans l'alimentation, j'ai souvent été exposée au processus de développement de nouveaux emballages et l'élaboration de nouveaux produits alimentaires. Avoir le feedback des consommateurs est crucial à la mise en marché de nouveautés. 

Récemment, on m'a parlé d'une entreprise de Québec qui a mis en place un incubateur de produits alimentaires, une plateforme nommée Inbe™ À table.  Il s'agit d'un site web où des entreprises manufacturières soumettent des concepts de produits et posent des questions aux consommateurs dans le but de valider des orientations de conception et améliorer leurs produits.  C'est le principe des focus groups, mais en version plus rapide et virtuelle.  

Et la beauté de la chose, c'est de participer à  ces mini-sondages et d'être récompensé pour ladite participation!  Chaque projet auquel on donne notre opinion nous donne une récompense qui peut être échangée contre des cartes  prépayées (iTunes, Amazon, Visa). Un crédit Inbe équivaut à 1$ US.   Merveilleux n'est-ce pas?

Plus bas, un exemple des questions très simples qui sont posées au sujet d'une marque de barre tendre dont on nous montre une photo d'emballage :
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Qui peut participer?
Tout le monde qui consomme de la nourriture! Le  principe est simple, vous créez un compte et vous recevez des notifications par courriel dès qu'un nouveau projet est en ligne. Vous répondez aux questions et vous accumulez les récompenses.  C'est aussi simple que ça! 

À vos claviers,  collaborez  en vous connectant à l'incubateurs d'idées Inbe ici ! ​


Ce billet est rendu possible grâce à  Inbe. 
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Pour l'apéro // Olives marinées ail et citron 

2/8/2016

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Durant l'été, toutes les occasions sont bonnes pour prolonger l'après-midi au soleil en apéro décontracté. Histoire d'être toujours prêt, je vous propose une idée très simple d'olives marinées à l'ail et au citron. Il suffit de mélanger les ingrédients dans un plat hermétique et d’oublier au frigo jusqu'au moment de servir. ​
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Un pot d'environ 400 ml d’olives espagnoles, égouttées
½ citron biologique, coupé en quartiers
1 c. à table d’herbes de Provence
1-2 gousses d’ail coupées grossièrement, au goût
2 c. à table d’huile d’olive première pression à froid ​
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1. Dans un bol, mélanger tous les ingrédients.
​2.  Couvrir et laisser mariner au frigo au moins 24 heures.


Se conserve ainsi pendant environ une semaine. ​
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Coup de coeur // Cassis Monna & Filles

27/7/2016

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Je ne sais pas pour vous, mais personnellement, chaque fois que je vais à l'Île d'Orléans, j'essaie toujours de faire un petit arrêt chez Cassis Monna & Filles avant de prendre le pont. Après tout, on a toujours besoin de beaux produits à donner en cadeau d'hôtesse, de sirop de cassis, de vinaigrette, etc. Tout récemment, j'ai entendu dire que Cassis Monna & Filles avait terminé les rénovations de leurs installations à l'Île d'Orléans. Ça a piqué ma curiosité et j'étais impatiente d'aller voir par moi-même tout le travail fait pour rendre cette destination encore plus attrayante. 

La famille Monna a investi beaucoup d'énergie et d'argent pour nous offrir 3 nouveautés cette année :

- une nouvelle boutique, agrandie, avec espace de dégustation des 4 alcools vedettes (et bar  à cocktails!)
- une crèmerie  sous le signe du cassis 
- le restaurant La Monnaguette bonifié d'une immense terrasse,  mettant en vedette le cassis 

Mon expérience chez Cassis Monna & Filles? Dépaysante. Littéralement. Mon copain et moi avons pris le chemin de l'Île un bon vendredi après-midi ensoleillé. Et après avoir passé plusieurs heures sur place, nous avons pu constater que l'accueil était chaleureux et attentionné pour tous les clients. La beauté des lieux est relaxante et ça peut paraître cliché, mais on sent vraiment que des femmes sont derrière tout ça. Le décor est rehaussé d'antiquités, de plantes et de fleurs, la lumière est bien réfléchie, l'espace est bien divisé. On s'y sent très bien, et instantanément en vacances. 

Et ce qu'on y mange est tout aussi incroyable. Ce que j'ai aimé, c'est que le menu tourne autour du thème du cassis (ou si vous préférez, de la gadelle), sans exagérer le concept.  On découvre les saveurs délicates de ce petit fruit noir à travers des  plats classiques qui mettent en valeur leurs produits maison. 
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Tout d'abord, nous avons commencé avec des entrées (dans le menu À grignoter). J'ai «trippé» sur le poulet popcorn, un vrai petit bonheur pour moi qui suis folle de miel, surtout lorsqu'il est   baratté au cassis, et produit par La Miellée de Morphée. 
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Aussi, un demi  Paillasson des Fromages de l’Isle d’Orléans , bien connu dans les fromages à griller, ici servi avec les savoureuses  gelée de vin de cassis &   marmelade pomme, poire & cassis.  Avec une  salade verte et un bout de baguette, c'est une entrée pleine de goût. 
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En plat principal, l'homme a pris le sandwich sur pain ciabatta  au   porc effiloché (la recette de la belle-sœur) au vin de cassis , servi avec une belle salade verte aux petits fruits de saison et leur fameuse  vinaigrette au cassis. 
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​De mon côté, j'ai décidé d'y aller avec le plat auquel était apposé une petite étoile dans le menu : la poutine au confit de canard  & sauce au vin de cassis Le Capiteux.  Miam!  On m'avait prévenu que c'était copieux, et c'est le cas! Vraiment cochon comme plat,  ça pourrait facilement se partager à deux. 
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Pour se donner le temps de digérer, on passe à la boutique pour faire le plein de beaux produits, mais aussi pour déguster les 4 produits alcoolisés faits chez les Monna.  Demandez à les goûter, ils ont chacun leur propre caractère et vous découvrirez aussi tout pleins de bonnes façons de les utiliser à la maison.  Ne manquez pas de goûter à la sangria au vin de cassis au bar à cocktail tout près de la boutique, c'est rafraîchissant à souhait! 
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L'heure de la crème glacée avait sonné! Nous sommes donc montés à la crèmerie pour goûter à la barbotine au cassis, recommandée par Anne Monna elle-même. Elle est offerte en trois formats mais aussi en version «flotteur». Je vous recommande fortement d'essayer celui-ci, et de  bien mélanger la crème glacée molle au cassis à la «slush»... Vous obtiendrez un breuvage velouté, pas trop sucré et désaltérant à souhait.  La molle au cassis à elle seule est aussi à tomber par terre, soit dit en passant!  
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Les mordus de gelato à la pistache ou de crème molle à la vanille trouveront leur compte sans problème. Nous avons cependant décidé de profiter de l'occasion pour goûter aux produits distinctifs de  la place: la crème glacée à la vanille avec coulis de cassis (en haut à gauche), le sorbet au cassis  (en haut à droite) et la gelato au cassis (en bas).  Celui qui a le goût le plus puissant (et mon préféré) est le sorbet au cassis. Encore une fois pas trop sucré, c'est une douceur parfaite à déguster sous la pergola avec vue sur le fleuve et sur le pont de l'île. 
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Un merci tout spécial à Sylvie de Tac Tic Marketing et aux soeurs Monna pour la belle invitation. 
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Salade méditérannéenne au melon d’eau

26/7/2016

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Un midi où je ne savais pas quoi cuisiner pour le lunch, j’ai repensé à une salade vue sur le blogue de Garance Doré l’an dernier. La présentation graphique et spectaculaire m’avait marqué, mais j’avais gardé en tête son aspect simple de préparation. J’ai donc pris tout ce que j’avais sous la main pour créer un lunch rapide qui pourrait tout aussi bien être servi en entrée d’un long souper d’été. Amusez-vous à changer les éléments, le goût du melon d’eau étant délicatement sucré, vous verrez qu’il se marie avec autant les garnitures sucrées que salées. ​
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Pour 4 personnes
¼ melon d’eau bien rond sans pépins, coupé en tranches de 1 cm  
½ tasse de fromage feta, émietté  
12 olives noires Kalamata, sans le noyau
½ tasse de noix (noix de pin, pistaches ou graines de tournesol)
Un filet d’huile d’olive extra vierge  
Quelques feuilles de menthe fraîche ou de basilic
Poivre noir fraîchement moulu, au goût
Réduction de balsamique (ou crème de balsamique) pour décorer
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1. Faire chauffer à feu moyen une petite poêle antiadhésive et griller à sec les noix ou les graines, pendant 4-5 minutes. Bien faire attention de ne pas les brûler, et réserver.
2. Déposer une tranche sur une planche et passer la pointe d'un couteau tout le tour pour  en retirer la peau.
3. Mettre dans 4 assiettes les tranches de melon d’eau et recouvrir des autres ingrédients, selon votre inspiration du moment.

4. Servir bien froid… sans oublier le couteau!


Astuces:
- Coupez les tranches de melon d’eau en pointes dans l’assiette, comme une pizza
- Variez les garnitures selon les saisons et vos goûts : tomates cerises, crevettes nordiques, tranches d’avocat, chair de crabe,  fines tranches de concombre libanais, feuilles de roquette, bleuets frais, etc.
-  Préparez votre vinaigrette préférée pour substituer l'huile d'olive et le balsamique 
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Dans la cuisine // Maillard

15/7/2016

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Connaissez-vous la réaction de Maillard? Il s'agit d'une réaction chimique qui a été découverte par le Français  Louis-Camille Maillard :  «  Elle explique l’arôme riche et savoureux d’une viande grillée et a lieu lorsque la viande est chauffée à très haute température, à plus de  300˚F. Les protéines sont alors réduites à l’état d’acides aminés qui s’unissent avec les sucres pour former des structures en forme d’anneaux réfléchissant la lumière. La « réaction de Maillard » explique la teinte brune et le goût aux saveurs inimitables propres à la grillade ! »
​

C'est en se basant sur ce concept que l'entreprise de Terrebonne est née, il y a quelques mois! Il va sans dire que Maillard.co vend des produits pour les carnivores (végétariens s'abstenir!) et ça se passe exclusivement  via le web. Les commandes sont livrées directement à la porte des consommateurs dans une boîte renfermant de la glace sèche,  qui a donc les mêmes propriétés qu'une glacière. Les aliments sont conservés à une température de -80° C (et peuvent le rester jusqu'à 30 heures si la boîte reste fermée), ils sont donc surgelés  jusqu'à la livraison chez le client.
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J'ai eu la chance de goûter à plusieurs types de viandes, du porc, du boeuf et de la volaille.  En lisant un peu sur l'entreprise, j'ai vu que  Maillard garantissait des viandes sans colorant artificiel et dans le cas du poulet (déjà désossé et paré), j'ai apprécié qu'il soit  nourri au grain, refroidi à l'air et élevé sans antibiotiques.
De la découpe à l’expédition, toutes les viandes sont travaillées dans les installations de Terrebonne et certifiées HACCP (une norme qui nous assure la sécurité alimentaire et la salubrité). Les viandes sont choisies avec soin en fonction de leur persillage (les petites «veines» de gras blanc qu'on voit dans la chair) et de la qualité des producteurs, et ça parait au moment de les cuisiner. 

Mon gros coup de coeur, le steak de faux-filet PRIME, faisant partie de la Sélection 1913. Cette catégorie est destinée aux fins connaisseurs et à ceux qui veulent faire l'expérience de viande d'exception. Ce steak est en effet vieilli 45 jours pour attendrir la chair et lui garantir un maximum de saveur. Juste à le regarder, on s'imagine qu'il sera tendre et savoureux. Avec seulement un trait de poivre et de sel, cuit sur le grill, il fond dans la bouche et nous fait comprendre exactement ce qu'est la réaction de Maillard! Évidemment, il nécessite une attention particulière et il est important de ne pas trop le cuire, la cuisson saignante étant idéale pour l'apprécier à sa juste valeur. Un bon thermomètre à viande est ici notre meilleur allié pour assurer une cuisson parfaite. 

Je vous invite grandement à aller visiter le site web de la compagnie, à consulter la section recettes et à vous laisser tenter par les coffrets découverte. Cela pourrait vous permettre de remplir votre congélateur et de goûter à de la vraie bonne viande, parole de foodie! 

Vous n'êtes toujours pas convaincu?

​Voici  6 bonnes raisons d'essayer Maillard.co   :

1.  1% des achats faits sur le site sont versés à des banques alimentaires au Québec et en Ontario

2.  Le contrôle qualité  est d'une grande importance pour l'entreprise, on est donc certains de  toujours  être satisfaits de la fraîcheur et de la tendreté de la viande. 

3.  C'est une entreprise locale qui s'assure de la traçabilité des viandes en plus de créer de l'emploi au Québec.

4.  Les emballages sont ultra pratiques: la glacière isotherme est recyclable ou réutilisable et les emballages sont très faciles à ouvrir, détail apprécié lors de la manipulation de volaille par exemple. 

5. La livraison est rapide lorsque la commande est passée entre lundi et jeudi.  C'est donc dire que pour un souper un samedi soir, on peut passer une commande le jeudi matin et recevoir la commande le vendredi au bureau, ramener le tout à la maison et dégeler au frigo seulement les morceaux choisis pour le repas du lendemain.  

6. Les frais de livraison sont gratuits pour toute commande de 150$ et plus! 
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Je me fais souvent demander si je mange tous les soirs comme dans un restaurant 5 étoiles. Ça me fait toujours bien rire! Bien que nous mangeons très bien (dans le sens de bon au goût et bon pour la ligne) la plupart du temps, il m'arrive comme tout le monde d'avoir envie de quelque chose de super basic, comme un bon vieux spaghetti ou un burger relish-ketchup-moutarde.

Comme c'était le cas un soir de cette semaine, mon amoureux et moi nous ne voulions pas nous casser la tête et manger sur la terrasse,  nous avons donc décidé de faire un nachos au poulet avec les poitrines de poulet Maillard. J'ai fait mariner le poulet tout l'après-midi dans un mélange d'huile d'olive et d'épices cajun et nous avons cuit sur le tout sur le BBQ. Nous avons monté le tout sur 2 étages, avec un peu de salsa, du poivron et beaucoup de fromage (j'ai essayé le cheddar doux jaune de Riviera).  Ce fut un souper simplissime  et oh combien satisfaisant. Le poulet, juteux et tendre à souhait (on le voit même sur la photo), a  volé la vedette!  Comme quoi même les plats les plus  élémentaires  peuvent devenir incroyables avec des ingrédients de qualité. 
​
Merci à Matom et Maillard de m'avoir offert la boîte de produits et de m'avoir permis de goûter à la très grande qualité de ces produits. 
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Dans la cuisine // Pâtes aux boulettes de canard et bocconcini 

27/6/2016

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Récemment, j'ai eu la chance de goûter à 3 nouveaux produits de la compagnie  Canards du Lac Brome  et j'ai adoré mon expérience.  Les 3 produits sont selon moi destinés à 3 utilisations bien distinctes, étant donné leur forme : le canard haché est parfait pour faire des burgers ou des recettes avec des boulettes de viande, le canard pour fondue chinoise se mange tel quel en fondue ou alors en sandwich ou sur une pizza et les cubes de poitrines de canard sont parfaits pour des brochettes ou des mijotés. De tout pour tous les goûts!  Voici une recette de Martha Stewart que je fais depuis plusieurs années, que j'ai adapté pour bien apprêter la viande de canard. Le résultat est tout simplement divin, et vous pouvez être certains que je ne reviendrai jamais à la dinde pour cette recette !
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350 g de canard haché  maigre 
1/4 tasse de chapelure de pain
2 gousses d'ail, émincées 
1  oeuf, légèrement battu 
1/4 tasse de parmesan finement râpé 
1 c. à thé de sel 
1/4 c. à thé de poivre noir moulu 
2 c. à table de gras  de canard fondu 
Une douzaine de tomates cerises du Québec, coupées en deux
250 g de pâtes alimentaires,  au choix  
1/2 tasse   de feuilles de basilic frais 
20 boules de     bocconcini cocktails 
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1.  Préparer les boulettes de canard : mélanger dans un grand bol le canard haché, la chapelure, l'ail, l'oeuf, la moitié du parmesan râpé, le sel et le poivre. Former des boules (20) d'environ 1 pouce de diamètre avec les mains  et réserver. 
2. Faire bouillir l'eau pour les pâtes.  Saler généreusement. 
3. Pendant que les pâtes cuisent,  faire fondre du gras de canard dans une grande poêle  et déposer les boulettes. Dorer tous les côtés à feu moyen-élevé, puis ajouter un peu d'eau de cuisson des pâtes  (environ 1 tasse) ​  pour  terminer la cuisson. 
4. Égoutter les pâtes et les remettre dans le chaudron. Ajouter les tomates cerises et les petites boules de bocconcini. Ajouter  le reste du parmesan, les feuilles de basilic  et bien enrober les pâtes. Servir immédiatement avec plus de parmesan au goût. 
5. Dire Oh! Canard  à chaque bouchée! ;-) 
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Un merci tout spécial à Canards du Lac Brome de m'avoir offert de goûter leurs nouveaux produits. 
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Dans la cuisine // Croustade aux fraises et crumble aux amandes

19/6/2016

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Les fraises du Québec sont sans contredit les meilleures, les plus sucrées et les plus juteuses! Et la nature étant bien faite, la saison de la rhubarbe coïncide parfaitement avec la saison de ce fabuleux petit fruit rouge! Je vous propose donc un mélange classique de ces deux produits de saison, rehaussé d’un crumble à la poudre d’amandes. Un vrai délice en chaud-froid, servi avec une boule de crème glacée à la vanille! ​
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3 tasses de fraises, équeutées et coupées en dés (voir astuce 1)
2 tasses de rhubarbe fraîche, coupée en petits dés
1/2 tasse de sucre  
1 c. à table de farine tout usage

Pour le crumble
¾ tasse de flocons d’avoine
⅓  tasse de cassonade
⅓ tasse de farine tout usage non-blanchie
¼ tasse de poudre d’amandes
4 c. à table de beurre ou de margarine
1 c. à table de cassonade (facultatif)
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1. Préchauffer le four à 350° F. Disposer les fruits dans un plat allant au four (d’environ 9 pouces de diamètre) ou plusieurs petits plats. Ajouter le sucre et la farine et bien mélanger.
2.  
Cuire au four pendant environ 30 minutes. Pendant ce temps, préparer le crumble : combiner dans un grand bol les flocons d’avoine, la cassonade, la farine, la poudre d’amandes et le beurre. Prendre deux couteaux et couper la pâte pour défaire le beurre en petits morceaux. Réserver.
3.  
Lorsque les fruits sont cuits, retirer le plus de liquide possible à l’aide d’une louche ou d’une cuillère et réserver le jus dans un petit chaudron (voir astuce 2).
4. Recouvrir les fruits de la préparation pour le crumble et remettre au four pour 15 minutes, ou jusqu’à ce que la préparation bouillonne. Servir chaud ou froid.
Astuces :
1- Pour équeuter vos fraises, utilisez la technique de la paille. Vous sauverez énormément de temps et c’est moins dangereux pour les enfants!
2- Si vous le désirez, faites réduire à feu doux le liquide fraise-rhubarbe récupéré, jusqu’à ce qu’il ne reste que le ⅔. Ce sirop pourra être servi avec la croustade et une boule de crème glacée. Il fait aussi des miracles sur les crêpes et les gaufres!
3- Pour donner une belle couleur dorée à la croustade, saupoudrez 1 c. à table de cassonade à la fin de la cuisson et refaites cuire 2 minutes sous le grill. Attention, la coloration peut arriver rapidement, surveillez votre four!
4- Si vous n’aimez pas la rhubarbe, remplacez-la par plus de fraises. Diminuez la quantité de sucre si tel est le cas.

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Dans la cuisine // Shrub maison aux fruits

16/6/2016

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Mais qu’est-ce qu’un shrub exactement, me direz-vous? C’est tout simple et pourtant si méconnu! Il s’agit d’une préparation à base de vinaigre, de fruits et de sucre, qu’on mélange avec de l’eau et de la glace pour en faire une boisson extrêmement rafraichissante! En terme de goût et de sensation en bouche, ça me rappelle le kombucha. 

Un concept vieux de plusieurs siècles, le «vinaigre à boire» peut être fait à base de pas mal tous les fruits. J’en ai goûté un bon au Bistro Le Sam du Château Frontenac, ainsi qu’au Bistro L'Atelier dans le cocktail Le bon vivant et ça m’a inspiré à essayer le tout à la maison. D’ailleurs, sur le menu du Bistro Le Sam, on apprend qu’à l’époque, partout dans le monde, «les vinaigres potables étaient utilisés pour des raisons de santé. Durant l'époque coloniale, le "shrub" était une boisson consommée de tous.»

Récemment, j’ai reçu des beaux produits de la Maison Orphée. Je connais cette entreprise de Québec depuis plusieurs années et j’utilise fréquemment ses produits dans mes recettes, surtout pour les salades. D’ailleurs, l’application de Maison Orphée est vraiment géniale pour s’inspirer ou pour faire changement de la vinaigrette classique huile-d’olive-balsamique.

En voulant faire changement justement, j’ai décidé d’explorer le monde des shrubs avec le vinaigre de cidre de pomme (mais selon mes recherches, ça pourrait fonctionner aussi avec le vinaigre de vin blanc et le vinaigre blanc). Je vous propose donc 4 saveurs de shrubs que j’ai testés et qui s’avèrent tous plus bons les uns que les autres. Bon été!
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Ingrédients 

Fraise, menthe & balsamique
1 tasse de fraises du Québec, équeutées et coupées en deux
8 feuilles de menthe fraîche, ciselées
1 tasse de vinaigre de cidre de pomme biologique 
2 c. à table de vinaigre balsamique biologique 
¾ tasse de sucre 

Pêche & vanille
1 tasse de pêches coupées en morceaux
1 c. à table d’essence de vanille
1 tasse de vinaigre de cidre de pomme biologique 
¾ tasse de sucre 

Ananas & romarin
1 tasse d’ananas coupé en morceaux
1 tasse de vinaigre de cidre de pomme biologique 
2 branches de romarin frais 
¾ tasse de sucre

Bleuet & gingembre 
1 tasse de bleuets, frais ou congelés
1 morceau de gingembre de 1 pouce, coupé en tranches 
1 tasse de vinaigre de cidre de pomme biologique 
¾ tasse de sucre 
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Marche à suivre 

1. Stériliser un pot en verre (Mason) en le plongeant dans l’eau bouillante pendant 5 minutes.
2. Mettre les morceaux de fruits et les aromates dans le pot et réserver. 
3. Dans une petite casserole, faire chauffer le vinaigre, sans le faire bouillir (je vous conseille ici d’allumer votre hotte de cuisinière pour éviter de propager une odeur de vinaigre dans la maison). 
4. Verser le vinaigre sur les fruits et refermer le pot. Laisser macérer au frigo de 24 heures à 1 mois. 
5. Filtrer avec un filtre à café ou un filtre à lait de noix et verser dans une petite casserole. Ajouter le sucre et faire chauffer pour le dissoudre, sans faire bouillir. 
6. Refaire l’étape de stérilisation de pot avec un pot Mason de 2 tasses et y verser le sirop de shrub. 
7. Servir 2 c. à table (ou plus au goût) dans un verre avec des glaçons et remplir d’eau pétillante ou d’eau plate. 

Se conserve au réfrigérateur plusieurs mois. 
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Merci à Brouillard Communication et à la Maison Orphée pour les produits, je m'amuse beaucoup en cuisine grâce à vous!
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    Profil Camille Brunelle

    Camille Brunelle

    Fondatrice du blogue Champagne & Brunelle et rédactrice créative, j'aime le beau pour les yeux et le bon pour le palais.
    ​Bienvenue chez moi!
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    Québec, Canada.

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